" ... Cependant, la note de professionnalisme revient à
Jean-Luc MALANDAIN,dont les superpositions de couleurs donnent sans
vergogne dans l'abstraction en prenant comme base de travail
des cartonnages. Le tout, dans un salutaire lâcher prise qui n'est pas
incompatible avec la recherche de qualité: (...) C'est un discours
écologique plus qu'écologiste sur la civilisation, en redonnant en
outre une esthétique
à des matériaux non-nobles."
(Presse Havraise,
17.02.2005)
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Pour Jean-Luc Malandain, la création est un voyage unique chaque fois
recommencé. Car avant tout, l'homme est un artiste semant, récoltant et
glanant de fugaces petites pierres blanches de bonheur. C'est
invariablement avec le plus grand délice qu'il nous entraîne dans un
univers chatoyant de spiritualité. Généreusement inclassable, (il) n'en
est pas moins un artiste multi-facettes alternant, comme il se le doit,
peinture, sculpture et écriture poétique... "
(A.
P., 2002)
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"Collages,
peintures, matières mélangées, Jean-Luc Malandain exprime à travers la
couleur et les matières un art brut chaleureux."
(D. L. M., 2002)
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Le deuxième Prix Havre-Libre concerne une peinture de Jean-Luc
Malandain, qui représente des bandes géométriques qui s'éclatent, avec
aussi des rayures concentriques d'un dynamisme surprenant."
(1997)
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Un merveilleux accent de chez nous, dans un rythme berceur comme celui
de la mer... Ce poète est aussi peintre de grande expressivité (...).
C'est toute l'âme d'une ville unique, universelle, dans laquelle nous
nous retrouvons. "
(A.
V., 1997)
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... un brouillard à l'opacité sensible, opaline, attire
irrésistiblement. Bien équilibrée, avec des dégradés subtils pour une
image suggestive et volontairement estompée, voilà une toile qui prouve
un talent de peintre."
(Alexandre
Vernon, 1993)
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"Inspiré
de certaines techniques africaines comme le batik, Jean-Luc Malandain
manie avec dextérité les pigments et colorants. Ce peintre, qu'il faut
très vite découvrir, a la faculté extrème de nous peindre l'avenir sous
de belles couleurs. A ne pas manquer..."
(D.
C., 1993)
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